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L’origine de cette fête est à la fois marquée par le découragement et la montée en puissance de la grâce, le dépassant infiniment. C’est le Père Lamy notre fondateur qui nous a donné cette fête patronale.
Le jubilé a commencé le 24 décembre 2024 et s’achèvera le 6 janvier 2026. C’est dans l’Ancien Testament, et plus particulièrement dans le Lévitique (Lv 25, 10) que se trouve l’origine de la tradition catholique des jubilés.
Le récit de l’Annonciation est certainement celui où nous voyons le mieux comment Marie a accueilli la volonté de Dieu. Elle donne Son consentement à Sa maternité divine et Se présente comme la servante du Seigneur (Lc 1, 38).
Dans une vie où l’on a l’habitude de garder le contrôle sur tous les aspects de notre vie, l’Avent nous propose un chemin bien différent, celui de « se laisser agir » par Dieu…
C’est le secret de la vraie joie de Noël, de cette lumière qui remplit durablement le cœur et la vie.
Ce temps de l’Avent est la période du désir, ce moment où le désir de Dieu est appelé à grandir en nous. Ainsi, il peut être intéressant de nous interroger et de nous interpeller si nous voyons ce temps comme étant joyeux.
Dans un contexte où beaucoup se réfèrent à une forme de spiritualité, il est bon de reposer quelques fondamentaux.
Les étapes de la lectio habituelles sont la lecture, la méditation et la contemplation. Les conditions dans lesquelles on entre et on sort de la lectio sont aussi importantes : les préliminaires et la conclusion sont également à prendre en compte.
Dans un contexte où beaucoup se réfèrent à une forme de spiritualité, il est bon de reposer quelques fondamentaux.
Mettre la prière au centre de nos vies, ou comment nouer une relation à Dieu ?
En cette rentrée qui peut être agitée à plusieurs niveaux, il est important de mettre ou remettre notre relation à Dieu au centre de notre vie.
Si La vision judéo-chrétienne de l’écologie est anthropocentriste, elle ne lui donne pas un rôle de toute puissance. Or, le courant de pensée dominant actuellement part de ce postulat pour le considérer comme une menace. Comment faire pour laisser l’Évangile éclairer notre rapport à la nature ?