C’est la société noyonnaise de miroiterie, Vitraux-Max, qui est intervenue pour réaliser les différentes tâches de restauration : - démontage des vitraux très abimés - restauration de ces vitraux à l’atelier de la miroiterie - réinstallation de ceux-ci dans la Grande Chapelle - restauration sur place des vitraux faiblement abimés
Le chantier a duré presque trois mois.
Il a été co-financé par la DRAC (Direction Régionale des Affaires Culturelles), le Conseil Général de l’Oise et la fondation Gaz de France.
Le coût total des travaux s’est élevé à 17000 euros.